Les maisons sur pilotis des pêcheurs réservées à l’élevage de meretrix ont été construites tout au long des 7,5 km de littoral de la commune Dong Minh. A marée basse, de nombreuses femmes arpentent l’estran. Bien que ce travail soit dur, il leur rapporte un revenu de 2 millions de dôngs chaque mois.
Il y existe deux variétés de palourdes. L’une appelée "palourde royale", est très rare parce qu’elle est difficile à élever. Autrefois, elles étaient offertes aux rois. L’autre, la palourde blanche, en provenance du Sud, est adaptée à l’environnement de cette région littorale. Les pêcheurs peuvent les produire sur place.
Dong Chau, commune Dong Minh district Tien Hai, province de Thai Binh, est appropriée à l’élevage du meretrix.
Les champs de meretrix sont bien protégés pour éviter les pertes à la marée haute.
Les principaux outils de travail sont des bêches.
Des centaines de femmes de la région exercent ce travail saisonnier.
D’autres préfèrent chercher des palourdes dans la nature.
Les palourdes récoltées sont exportées vers la Chine à des prix élevés.
À la marée haute, la récolte devient plus difficile.
Elles travaillent jusqu’à midi.
La zone d’élevage du meretrix redevient tranquille à marée haute.
Les dernières palourdes récoltées avant la montée de la marée.
La vie des habitants s’est améliorée grâce à l’élevage du meretrix.
Les palourdes représentent 70% de la valeur économique de la commune de Dong Chau. Les zones d’élevage du meretrix couvrent environ 300 ha. Avec un investissement de 200 millions de dongs par hectare, les éleveurs peuvent tirer un milliard de dongs de profit après d’un an.
Actuellement, parmi les 2400 foyers de la commune, 300 pratiquent l’élevage du meretrix. Cette activité a créé 500 emplois aux habitants, notamment des femmes.
Source : VNP
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